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Alice marchait en silence.La peur avait envahi son corps,les bruits étranges qui lui parvenaient, la faisaient trembler,comme la feuille agonisante au pied de l'arbre géant.Seul le vol d'un oiseau semblait combattre le silence pesantqui régnait dans cette forêt.Repliée sur elle-même,comme un être affaibli consommant ses dernières forces,pour un dernier et ultime combat.Elle gardait enfermée en elle la vie encore présente en son sein,espérant l'utiliser comme dernière arme contre son ennemi.Mais Alice avait-elle assez de force pour l'aider à vaincrele combat inégal d'un fantôme millénaire contre une fillette et une forêt moribonde
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il faisait nuit,
et tombait la pluie,
sur l'asphalte gris.
Elle marchait sans s'arrêter,
s'enfuyant comme une égarée,
elle tremblait de la tête aux pieds.
La sueur perlait à son front,
la peur lui collait aux talons,
et son cœur se serrait aux tréfonds
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Si un jour tu te lasses,
laisse juste une trace,
que je puisse au moins rêver,
un jour te retrouver.
Ne sois pas dégueulasse,
laisse moi une petite place,
je te laisserai respirer,
je saurai m' effacer.
Je veux juste que tu sois toi,
mais avec un peu de moi,
je suis ton prisonnier,
laisse moi simplement t'aimer.
On ne nait pas parent,
mais on reste l'enfant,
quand je vois tes yeux,
je me vois à travers eux.
Tu me jettes à la mer,
mais je reste ton père.
Je t'aime mon enfant,
même si tu es devenu grand votre commentaire
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Comme écrit dans le titre c'est la fin.
La fin de mes errances,
la fin de remises en questions,
la fin de coucher mes maux sur du papier,
la fin de me torturer pour rien l'esprit,
la fin de ce blog.
La vie est courte,
la vie est belle quand on sait se contenter de ce qu'on a.
La vie est simple pour se la compliquer inutilement.
Certaines personnes ne trouvent jamais la paix de l'âme,
j'ai trouvé le bien le plus précieux:
l'amour que me portent mes enfants et l'homme qui partage ma vie.
La mort prend trop et trop tôt, alors profitons de ce qu'il reste,
parce-que j'ai compris, enfin....
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Passé un certain temps,
pour vivre dans le présent,
il faut tourner des pages,
parfois ouvrir la cage,
pour enfin s'envoler,
ne plus être obligé,
de supporter les chaines,
qui nous retiennent.
Cela fait presque un an,
que je donne trop de temps.
Alors je vais fermer le livre, couper mes chaines et ouvrir ma cage,
pour voler vers d'autres horizons,
loin de cet endroit étrange que je nomme ma prison. 3 commentaires
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chronique d'une indécise, impulsive mais passionnée de dessin et d'écriture............................................................................................
Toutes les images sont de Natalie Shau. Les textes sauf mention d'un nom sont de moi. (M-L c'est moi)
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